Expertise immobilière : à la conquête d’une top position sur Google

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Depuis mes études, je m’intéresse sérieusement à l’immobilier.

En master, je rédigeais un mémoire « gagner avec l’immobilier » ; puis j’ai franchi le pas en commençant à acheter des appartements dès mon premier CDI validé.

Ce premier CDI chez Blizzard Entertainment en Irlande validait mon autre passion, Internet et le jeu en réseau.

De retour en France, j’ai continué le web en monétisant mes sites personnels (jeux flash surtout…) puis en créant InternetBusiness.fr, que vous lisez actuellement et qui entame bientôt sa 4ème année en tant que SASU. Vive le référencement E-commerce.

Parallèlement, j’ai poursuivi mes activités immobilières en tant que Négociateur dans une étude notariale et en multipliant les investissements immobiliers.

Prenant goût aux expertises immobilières, j’ai évalué une centaine de biens chaque année et rédigés pour certains un rapport de 20 à 30 pages. Ces rapports étant corrects, j’ai pu validé le REV TEGOVA puis atteindre un objectif qui comptait plus pour moi qu’une Rolex à 50 ans : l’inscription sur la liste des experts judiciaires.

(Parenthèse : je me pose la question : y a-t-il un impact des ventes de smartphones sur celle des montres ? Car je ne porte plus de montre depuis mon premier Iphone.)

L’inscription sur la liste des experts judiciaires permet d’avoir une carte de visite de type « Expert en estimations immobilières près la Cour d’appel de Rennes »… et les responsabilités qui vont avec.

Je prends très à cœur le serment : 
« Je jure, d’apporter mon concours à la Justice, d’accomplir ma mission, de faire mon rapport, et de donner mon avis en mon honneur et en ma conscience. »

L’expert donne son avis de technicien, prend en compte les remarques des avocats (les « dires ») et le juge tranche, parfois en affinant habilement les conclusions du technicien. Je vous invite à lire le blog de Zythom pour savourer ses anecdotes d’expertet son bon sens.

Avec du bon sens, en appliquant la Charte, les règles et les usages de l’expertise immobilière, il est possible de limiter sa marge d’erreur et d’évaluer un bien au plus juste. Malgré tout, vu l’ensemble des facteurs qui conditionnent un achat, l’évaluation ne sera jamais une science parfaite… comme le référencement naturel dans Google.

J’en viens à Google car l’expertise immobilière est aussi recherchée par les internautes. Certains sites en font d’ailleurs leur fonds de commerce. Je vous propose donc d’étudier plus en détail ce marché.

 

1/ Quels mots clés viser ?

Si l’on tape « expertise immobilière » dans SEMrush :

Expertise immobilière SEMrush

 

Dans le même esprit, la requête « expert immobilier » offre naturellement des opportunités :

Expert Immobilier SEMrush

 

Google peut ensuite suggérer quelques recherches associées :

Recherches associées Google expertise immobilière

 

Ces requêtes vont alimenter les pages du site.

Answerthepublic suggère des idées pour le blog :

Expert Immobilier Answerthepublic

 

Le blog sera également enrichi par quelques articles sur les dernières jurisprudences.

 

2/ Quelle est la difficulté de la requête ?

MOZ indique que la requête « expertise immobilière » semble peu concurrentielle :

Difficulté MOZ expertise immobilière

 

SEMrush suggère tout de même un coût par clic (CPC) en référencement payant (Adwords) de 3,99$ (3,15$ pour « expert immobilier »).

 

Le bon classement d’une page dépend de son contenu mais aussi de l’autorité de la page et du site.

MOZ donne quelques indices sur l’autorité des pages du top 5 :

Autorité de page Expertise Immobilière MOZ

Les résultats 1 et 2 indiquent qu’avec une rédaction de qualité et peu de liens vers le site (<50 RDs) et la page (0 et 2), il est possible de battre des pages bien pourvues en liens.

Comment la page d’Arthurimmo ne peut être que 3ème ?

Est-ce une erreur de MOZ dans le nombre de liens attribués ?

S’il y a vraiment 138 domaines référents, est-ce un manque de variation d’ancre ?

Beaucoup de liens proviennent du footer de sites satellites ; les agences locales ont leur propre site, plus ou moins influent, et font un lien vers le site mère (ou « money site »).

Cela constitue un joli réseau mais pas forcément qualitatif pour Google.

Est-ce que Google n’apprécie pas le contenu à dérouler comme l’ont déjà observé certains experts SEO ?

Est-ce que l’URL tronquée sur le mot clé avec une virgule passe moyennement ?

Il est toujours pertinent d’avoir un peu de recul et de réflexion sur les résultats proposés de façon à adopter la meilleure stratégie.

Passionné par le référencement depuis 2012, j'ai démarré le SEO en travaillant sur la levée des pénalités Pingouin / Panda puis sur des E-commerces.

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